"En phrase terminale" ….

Danièle HENAUT-HULEUX dans tous ses états.

Archive pour la catégorie 'Non classé'

Question de tact …..

Posté : 16 juillet, 2021 @ 1:55 dans Non classé | Pas de commentaires »

-Bete-et-mechant-J´aimerais parler d´une catégorie de personnes dont l´attitude m´énerve beaucoup….
Ce sont les gens sans tact.

Ils sont apparemment très fins pour débusquer les défauts et les erreurs des autres et ils vont parfois vous les jeter à la figure, sans ménagement aucun. Mais en revanche, ils n´assument absolument pas si ils vous ont blessé. Leur excuse ? « Je suis maladroit ». Comme si ils ne savaient pas que leurs paroles pouvaient blesser….Et parfois, je me dis que ces personnes doivent, soit être vraiment idiotes pour ne pas se rendre compte qu´elles blessent, soit sont tout simplement vraiment méchantes……

Il y a certaines personnes qui se plaignent un peu de tout, sans penser une seconde qu´elles peuvent fatiguer leur entourage, et sans assumer qu´elles pourraient avoir une responsabilité dans leurs problèmes. Je me demande, au fond, si les gens « maladroits » ne sont pas d´anciennes « éternelles victimes », qui un jour, se sont transformées en « éternels persécuteurs », critiquent tout, jettent leur 4 vérités à tout le monde…

A ce qu’il parait, ça s’aggrave avec l´âge…

J´espère que je ne serai pas comme cela plus tard…

Bonne année quand même….

Posté : 3 janvier, 2020 @ 8:53 dans Non classé | Pas de commentaires »

Nous voici aux premières heures de 2020 et des milliards de messages de «vœux les plus sincères» (on l’espère !) vont se croiser dans la smartphonosphère et la blogosphère (Les cartes de voeux c’est devenu « grave » ringard comme disent les neujes) et je me sens obligée de respecter cette tradition, bien que le coeur n’y soit pas ! Car enfin la situation n’est pas des plus réjouissantes ! …

Marie Laforêt, la fille aux yeux d’or, Poulidor, Dick Rivers et Alain Barrière, les idôles de ma jeunesse,  ne sont plus de ce monde. Les anciens présidents vendent plus de bouquins du récit de leur inaction que les prix Nobel. Le président du Sénat s’habille en XXXXL, alors que la majorité des gaulois doivent se serrer la ceinture. Le prix du Carambar augmente plus vite que le SMIC. Les camemberts sont au lait pasteurisé. La production de vin ne cesse de baisser avec la répétition des canicules et des épisodes de grêle. La tête de veau sauce gribiche n’est plus à la carte des restaurants et les chefs trois étoiles servent des hamburgers. Les amoureux ne se bécotent plus sur les bancs publics, ils regardent chacun leur smartphone. Les gens n’échangent plus entre eux que par SMS mais parlent à leurs ordinateurs ou à des enceintes. A la télé le dimanche soir on passe Superman 56 au lieu des Tontons Flingueurs. Les filles ont les seins et les fesses en plastique et les spermatozoïdes des garçons se noient avant d’arriver au but. S’y on ajoute à cela que les ados se légumisent en passant leur vie vautrés dans un canapé et que les quadra vont au boulot en patinette, et enfin que les restaurants où vont les vieux s’appellent EHPAD, vous trouvez vraiment qu’il y a de quoi fêter ça et se réjouir ?

Moi, pas vraiment, mais bon, cela dit, comme je vous aime bien, je vous souhaite une bonne année quand même !…DSCN00940

Pourquoi je n’aime plus les fêtes de fin d’année….

Posté : 24 décembre, 2019 @ 2:13 dans Non classé | Pas de commentaires »

Résultat de recherche d'images pour "je n'aime pas les fetes de fin d'année"

 

Naturellement le côté esprit de Noël sur-joué a le don de m’agacer, ce côté bonheur à tout prix sonne faux. Il faut bien jouer la carte du commerce et contribuer à la consommation, même si mes finances ont largement dépassé le rouge, je me devais de faire le minimum. Nulle crèche, source de polémiques en ces temps d’obscurantisme… Néanmoins j’ai fait un sapin, que les petits ont décoré, pour leur plus grand plaisir…

A peine Noël terminé, qu’il faudra affronter le réveillon du 31… Les bilans de l’année, les rétrospectives, les dix meilleurs films, les dix meilleurs disques, livres, spectacles, séries, j’ai même trouvé les dix meilleurs lapsus politiques. Les zapping sont de moins en moins drôles, l’actualité ne nous en laisse plus l’occasion… Alors là-aussi la fuite s’impose. La question récurrente : vous faites quoi pour le réveillon ? est source d’inquiétude. Une invitation de dernière minute… alors que vous avez tout fait pour y échapper, trop heureuse.

Mais tout ça n’explique pas tout. Chaque année cette période me plonge dans un abîme d’angoisse et ça ne s’arrange pas, au contraire. Alors il me fallait creuser la question, comprendre la raison cachée. Je ne suis pas allergique à ce point au bonheur des autres. Et puis la réponse est venue, je ne l’ai pas trouvée seule.

Et si Noël était le moment idéal pour que ressurgissent les fantômes du passé?

Ces fantômes qui se rappellent à votre bon souvenir par leur absence. Les disparus, les décédés, les divorcés, les déménagés, les fâchés de longue date, les grandis trop vite et tous ceux qu’on ne reverra plus ou rarement. Pour moi Noël, c’est ma Toussaint… ma fête des morts, mon album souvenir, de tous ceux que je croisais le soir de réveillon au pied du sapin, bu du champagne avec et ri au moment d’ouvrir les cadeaux en pensant à ce sacré Père Noël qui nous a encore fait le coup de passer par le conduit de la cheminée trop petit. On cherchait des piles pour le jouet du petit dernier en maudissant le fabricant trop radin qui aurait pu en mettre dans la boite… Autant de souvenirs à partager ce soir un peu spécial où les cadeaux forment des montagnes de bons sentiments.

Le 31, l’occasion festive obligée

On se retrouve entre amis, on mange bien et à minuit on se précipite sur son téléphone pour envoyer des messages de bonne année à la terre entière, comme si les personnes présentes ne suffisaient pas à étancher le besoin de répandre son trop plein de voeux. On faisait comment avant les smartphones ?… Je ne me souviens plus, je crois qu’on s’embrassait sous le gui et on sortait les alcools forts.

J’aurais pu attendre encore un peu pour vous raconter tout ça,  que les fêtes soient passées, je ne voulais pas gâcher ces moments privilégiés. Je profite de cette occasion pour vous souhaiter sincèrement de belles et heureuses fêtes de fin d’année, promis la prochaine fois je vous parlerai de choses plus amusantes.

Les vieux cons et les soldes….

Posté : 18 janvier, 2019 @ 8:59 dans Non classé | Pas de commentaires »

Moi, je suis plutôt gentille… Je n’arrive pas à être méchante même quand il le faudrait… En plus, je suis super polie. Je suis donc hyper fréquentable, une vraie crème. (lol)  Les vendeuses m’adorent, ou en tous cas elles devraient m’adorer, quand je leur fait l’honneur de visiter leur boutique.

Comme je suis timide, j’aime bien faire mon shopping sans être dérangée. Mais apparemment, elles n’ont pas eu le mémo. Je ne comprends pas pourquoi, dès que j’arrive, elles se jettent sur moi comme la misère sur le pauvre monde et m’assaillent de questions.

Qu’est-ce qui se passe ? je n’ai rien fait de mal. Pourquoi m’agressent-elles ?

Parmi ces questions, l’une d’entre elles ressort constamment :
« J’peux vous aideeer ? »
M’aider… m’aider à quoi ? à franchir le seuil de la boutique ? à toucher les vêtements ? à soulever le cintre ? à marcher jusqu’à la cabine ? à respirer ?
Je ne comprends pas.

Une fois en cabine, on a également :
« ça va, tout se passe bien ? »
Tout se passe bien…? Comment ça ? tu crois que je suis en train de mater un film là dedans ? qu’est-ce que tu veux qui se passent mal ? t’as entendu l’alarme incendie peut-être ? Non ? Alors fous-moi la paix.

Et là, en général revient le…
« Vous dites si vous avez besoin d’aide. »
D’aide… pour quoi ? Pour mettre mon pied dans ce jean ? Ah mais c’est vrai qu’il faut pas se tromper de jambe, hein, faudrait pas inverser la gauche et la droite en l’enfilant. Et ce pull, je comprends pas Mademoiselle, il a 3 trous, pourtant j’ai pas 3 bras… Ah mais non, OK !… il y en avait un pour la tête. J’étais sensée deviner toute seule ? Sinon, vous auriez pas un plan pour sortir de cette robe ? Elle est tellement grande, j’ai peur de m’y égarer…

Oui, j’ai tendance à être un peu sarcastique, dans ma tête.

La réalité :

Quand j’entre dans une boutique, c’est le dos voûté, mon visage arborant un air méfiant. Je jette un coup d’œil rapide sur les fringues à portée de main, telle la maman de Bambi, prête à bondir hors de la boutique au moindre mouvement suspect. Et c’est toujours ce moment-là que choisit la vendeuse pour s’approcher de moi à petit pas avant de s’exclamer avec un sourire (dans au moins 50% des cas) « puis-je vous aider ? ».

Option 1 : je n’ai rien repéré qui me convenait dans la boutique. Le temps que la vendeuse finisse sa phrase, je suis déjà dans ma voiture avec la clef sur le contact.
Option 2 : j’ai vu quelque chose qui me plaisait dans le magasin….. Et c’est le début du supplice. ;)

 

Un beau texte sur la vieillesse de Monsieur Bernard Pivot

Posté : 21 août, 2018 @ 11:04 dans Non classé | Pas de commentaires »

Un beau texte sur la vieillesse de Monsieur Bernard Pivot pivot

J’ai pensé vous poster ce texte que je trouve inspirant sur l’âge que nous prenons, que nous le veuillions ou pas et sur ses bonheurs, joies mais aussi inconvénients. Bonne lecture.
Bonjour Vieillesse……Un très beau texte de Bernard Pivot .2764<3
J’aurais pu dire:
Vieillir, c’est désolant, c’est insupportable,
C’est douloureux, c’est horrible,
C’est déprimant, c’est mortel.
Mais j’ai préféré «chiant»
Parce que c’est un adjectif vigoureux
Qui ne fait pas triste.
Vieillir, c’est chiant parce qu’on ne sait pas quand ça a commencé et l’on sait encore moins quand ça finira.
Non, ce n’est pas vrai qu’on vieillit dès notre naissance.
On a été longtemps si frais, si jeune, si appétissant.
On était bien dans sa peau.
On se sentait conquérant. Invulnérable.
La vie devant soi. Même à cinquante ans, c’était encore très bien….Même à soixante.
Si, si, je vous assure, j’étais encore plein de muscles, de projets, de désirs, de flamme.
Je le suis toujours, mais voilà, entre-temps j’ai vu le regard des jeunes…..
Des hommes et des femmes dans la force de l’âge qui ne me considéraient plus comme un des leurs, même apparenté, même à la marge.
J’ai lu dans leurs yeux qu’ils n’auraient plus jamais d’indulgence à mon égard.
Qu’ils seraient polis, déférents, louangeurs, mais impitoyables.
Sans m’en rendre compte, j’étais entré dans l’apartheid de l’âge.
Le plus terrible est venu des dédicaces des écrivains, surtout des débutants.
« Avec respect », « En hommage respectueux », « Avec mes sentiments très respectueux ».
Les salauds! Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur stylo plein de respect? Les cons!
Et du « cher Monsieur Pivot » long et solennel comme une citation à l’ordre des Arts et Lettres qui vous fiche dix ans de plus !
Un jour, dans le métro, c’était la première fois, une jeune fille s’est levée pour me donner sa place…..
J’ai failli la gifler. Puis la priant de se rassoir, je lui ai demandé si je faisais vraiment vieux, si je lui étais apparu fatigué. !!!… ?
– « Non, non, pas du tout, a-t-elle répondu, embarrassée. J’ai pensé que ».
– Moi aussitôt : «Vous pensiez que?
– « Je pensais, je ne sais pas, je ne sais plus, que ça vous ferait plaisir de vous asseoir ».
- « Parce que j’ai les cheveux blancs »?
- « Non, c’est pas ça, je vous ai vu debout et comme vous êtes plus âgé que moi, çà été un réflexe, je me suis levée ».
– « Je parais beaucoup…beaucoup plus âgé que vous »?
- »Non, oui, enfin un peu, mais ce n’est pas une question d’âge ».
– « Une question de quoi, alors? »
- « Je ne sais pas, une question de politesse, enfin je crois ».»
J’ai arrêté de la taquiner, je l’ai remerciée de son geste généreux et l’ai accompagnée à la station où elle descendait pour lui offrir un verre.
Lutter contre le vieillissement c’est, dans la mesure du possible, ne renoncer à rien.
Ni au travail, ni aux voyages, ni aux spectacles, ni aux livres, ni à la gourmandise, ni à l’amour, ni au rêve.
Rêver, c’est se souvenir tant qu’à faire, des heures exquises.
C’est penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent.
C’est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l’utopie.
La musique est un puissant excitant du rêve. La musique est une drogue douce.
J’aimerais mourir, rêveur, dans un fauteuil en écoutant soit l’adagio du Concerto no 23 en la majeur de Mozart,
soit, du même, l’andante de son Concerto no 21 en ut majeur,
musiques au bout desquelles se révèleront à mes yeux pas même étonnés les paysages sublimes de l’au-delà.
Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés.
Nous allons prendre notre temps.
Avec l’âge le temps passe, soit trop vite, soit trop lentement.
Nous ignorons à combien se monte encore notre capital. En années? En mois? En jours?
Non, il ne faut pas considérer le temps qui nous reste comme un capital.
Mais comme un usufruit dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération.
Après nous, le déluge?….Non, Mozart.
Voilà, ceci est bien écrit, mais cela est le lot de tous, nous vieillissons !…
Bien ou mal, mais le poids des ans donne de son joug au quotidien
Bernard Pivot

Vive la retraite !…

Posté : 20 février, 2018 @ 11:59 dans Non classé | Pas de commentaires »

Vous rêviez de passer une retraite paisible auprès de votre conjoint mais c’est tout l’inverse que vous vivez au quotidien : il vous mène la vie dure avec ses nouvelles lubies car il s’ennuie.

« Depuis qu’il a pris la retraite, il est devenu grincheux, aigri, avare et s’acharne à pourrir votre quotidien. Il râle tout le temps pour du menu fretin, de la poussière, du linge non repassé, la cuisine, les émissions que vous regardez à la télé. Il vous rabâche comme un vieux disque rayé comment vous devez vous y prendre en tout. C’est épouvantable et insupportable. Il suffit que vous émettiez la moindre critique sur ses agissements pour qu’il vous remette en place… Si vous avez le malheur de lui rétorquer qu’il ferait mieux de se trouver une autre occupation que celles de la maison et de vous empoisonner la vie, alors il se met très en colère. Vos enfants et petits enfants, s’inquiètent et ne supportent plus nos disputes quotidiennes. Vous vous donnez en spectacle de façon quasi-permanente, parce que vous n’en pouvez plus de le laisser faire »…

J’ai bien peur que votre retraité de mari soit en proie à une dépression et vous n’aurez plus la force de le supporter plus longtemps.

Se remettrait-il en question si vous faisiez vos valises ? Mais pour aller où et avec quels moyens ? Vous souffrez beaucoup de cette situation que vous n’avez au grand jamais envisagée.

Vous n’êtes hélas pas la seule dans ce cas…

Bien des femmes ont l’impression de découvrir un autre homme lorsque leur mari prend sa retraite. Voici quelques pistes pour aborder cette nouvelle étape du couple.

https://www.notretemps.com/sante/comment-sauver-son-couple-a-la-retraite,i2531

La Bretagne ça vous gagne…

Posté : 6 août, 2017 @ 7:33 dans Non classé | Pas de commentaires »

280px-IMG_2935_StMalo
La Bretagne est une région magique qui a beaucoup fait parler d’elle.
On s’en moque souvent à cause de sa météo peu clémente mais elle regorge de trésors culinaires et culturels qu’il serait dommage d’oublier à cause de deux ou trois gouttes de pluie….
Nous avions bien sûr entendu parler des spécialités de la Bretagne. Les crêpes et les galettes sont connues dans le monde entier mais il y a également les fruits de mer et les poissons, en particulier les moules et les huîtres…
Le kouign amann est un gâteau fait avec une pâte à pain très fine à base de beurre et de sucre repliée sur elle-même plusieurs fois…
Autant vous dire que nous avons fait une cure de poissons en tout genre qui nous a revigoré ! Les desserts nous ont fait chavirer.
La cuisine bretonne n’a rien à envier aux cuisines du monde.
Dans cette région, on utilise au mieux les ressources de la mer et de la terre pour enchanter les papilles avec un savoir-faire ancestral…
Il y a tant d’endroits insolites dans ce coin que nous n’avons pas pu tous les faire.
Néanmoins, nous sommes passés au Mont Saint-Michel, à Saint-Malo, puis nous fait un tour à Dinan pour voir la cité médiévale et à Cancale pour manger les meilleures huîtres de la région….
et bien entendu un passage attendu à La Chapelle aux Filtzméens afin de nous recueillir sur la tombe de Jean-Yves….
Accompagnée de mon mari et de ma sœur, j’ai trouvé ce petit séjour délicieux… A refaire…

Je suis rancunière mais je me soigne….

Posté : 2 juillet, 2017 @ 8:32 dans Non classé | Pas de commentaires »

shutterstock_177133307-615x410

Définition de la rancune

Qui n’a jamais éprouvé un profond désir de vengeance suite à une humiliation ?

Être rancunière est un sentiment naturel chez l’être humain qui réagit mal à une injustice qui lui est infligée. La rancune est un défaut assimilable à une colère  »rentrée ». Quand la colère prédomine, elle explose : la rancune, elle, est plus intérieure, ne s’extériorise pas. La réaction la plus ordinaire face à l’hostilité ressentie est la fuite : couper les ponts représente un garde-fou pour se protéger et essayer de panser ses blessures à distance.

 

La rancune : un défaut aux impacts nocifs

Rancune et ressentiment sont des sentiments néfastes sur notre quotidien. Distance, froideur… Autant de signes ennemis de la communication qui est pourtant la seule façon de se libérer du poids de ce conflit. Être rancunière est un défaut qui nous ronge littéralement de l’intérieur. Une surcharge émotionnelle éprouvante contribue à engendrer des maux liés à une angoisse inexprimée : dépression, sommeil perturbé, stress, céphalées… Un impact résolument toxique qui empêche de vivre normalement. Arriver à s’affranchir de ce sentiment est pourtant la seule façon de se libérer l’esprit, de retrouver une paix intérieure, de retrouver une énergie positive et la possibilité d’avancer. Même si la vengeance semble séduisante après un affront, le pardon est cependant l’unique manière d’assainir la situation.

 

Pardonner pour ne plus se sentir prisonnière de sa rancune

Le secret pour arrêter d’être rancunière est de rétablir la communication. Même s’il est très difficile de faire le premier pas, réfléchissez et dites-vous que cette démarche doit être faite pour votre propre bien. À défaut de rétablir la relation passée avec la personne qui vous a fait souffrir, le dialogue est la clé pour vous permettre de faire un trait sur le passé et recommencer à avancer. Si toute communication verbale semble impossible, il ne faut pas hésiter à écrire une lettre, à consigner sur papier toutes les douleurs subies sur le moment : envoyée ou non, cette lettre est un excellent exutoire à votre ressenti. Même si vous décidez de la conserver pour vous, lire et écrire ces mots seront une libération pour votre esprit. Enfin, pardonnez du mal que l’on vous a fait : cet acte de foi contribue à votre propre sérénité. Si l’autre n’est pas en mesure de vous renvoyer la pareille, faites le deuil de tout cela pour enfin repartir sur des bases saines dans votre vie.

Les menteurs pathologiques

Posté : 28 juin, 2017 @ 1:20 dans Non classé | Pas de commentaires »

 

NWO-menteurs  Il vous trompe sur des sujets essentiels (il n’est pas libre, il a une liaison, il boit, il est criblé de dettes…), s’enferre dans ses âneries, promet de changer, recommence, fait l’étonné, nie… bref, c’est un menteur pathologique.

Que faire ? Soyez réaliste : vous n’avez rien à voir dans son attitude, il est simplement « malade ». Certes, vous devez le mettre face à ses mensonges, et vous êtes en droit d’exiger de lui réparation et pardon. Mais il risque de récidiver à la première occasion (ou de sembler s’en sortir avant de replonger). Vous ne pourrez pas le guérir de ses mensonges à répétition s’il ne souhaite pas, sincèrement, s’en sortir lui-même. Vous risquez même de devenir sa complice involontaire, et de vous rendre peu à peu la vie de plus en plus impossible et difficile !

Posez vos conditions

Il vous faut donc, l’avertir de ce que vous savez, définir votre seuil de tolérance, et poser les conditions strictes et fermes à la poursuite de votre relation. Il vous faudra repartir sur de nouvelles bases, lui redonner une chance et prendre le temps de voir… Ne vous laissez pas embobiner par ses pardons éplorés (je t’ai fait si mal, je t’aime tellement…) ni par ses promesses. Il nie, même devant la preuve de son mensonge ? Si, pour lui le respect et la franchise n’ont pas leur place dans votre couple, peut être devriez-vous vous séparer quelque temps pour faire le point et prendre une décision ? La peur de vous perdre le poussera peut-être à changer vraiment. Dans tous les cas, proposez-lui de consulter un psy, pour entreprendre une vraie thérapie, comprendre les raisons profondes de ses mensonges et se sortir de cette situation.

L’infidélité et les réseaux sociaux

Posté : 24 juin, 2017 @ 5:43 dans Non classé | Pas de commentaires »

Les réseaux sociaux favorisent-ils l’adultère ?… Les avis sont partagés sur cette épineuse question. Facebook contribue  au développement de relations avec des personnes potentiellement intéressantes. Mais est-ce que ces contacts finissent par créer une entorse à la fidélité ?…

Selon toute vraisemblance, les impacts des réseaux sociaux varient d’un pays à l’autre. Facebook serait utilisé comme preuve d’infidélité dans deux dossiers d’un divorce sur trois, rien de moins. « Les réseaux sociaux ont véritablement troublé la paix des ménages »…

l_infidelite_a_l_heure_des_reseaux_sociaux_670

Des retrouvailles?

En fait, ces réseaux permettent des retrouvailles qui ne se concrétiseraient pas autrement. Vous vous souvenez de cette petite amie, parmi tant d’autres, avec laquelle vous avez eu un petit flirt ? …Vingt ou  trente cinq ans plus tard, il serait assez difficile de trouver ses coordonnées et de lui téléphoner pour organiser des « retrouvailles ».

Or, avec les réseaux sociaux, il suffit de rechercher le nom de la personne, puis de l’ajouter comme ami(e). Il ne vous reste alors qu’à discuter pour savoir si vos intentions se rejoignent.

L’infidélité émotionnelle

Séduire est un besoin pour de nombreuses personnes. Or, il est tentant d’échanger des propos plus intimes avec une personne « intéressante ». Ce phénomène pourrait même modifier la notion même de l’infidélité.

Oui, tromper a une nouvelle signification aujourd’hui  « Ce n’est pas parce que vous n’avez pas de relations sexuelles avec une autre personne que vous ne trompez pas votre conjoint(e) en flirtant avec d’autres... L’infidélité émotionnelle ne faisait pas partie de la vie de nos grands-parents parce que le seul membre du sexe opposé avec qui on pouvait flirter était soit le meilleur ami de votre époux, soit le mari de votre meilleure amie. Facebook est arrivé, avec ses flirts en ligne « sans danger », avec des amis qui se préoccupent plus de votre vie que votre époux ou épouse ou des réunions avec d’anciens coups de cœur. »

Or, cette infidélité émotionnelle est facile… D’ailleurs, 30 % des participants à une étude ont révélé avoir des comportements de séduction sur Internet. Oui, les internautes jouent avec le feu. Et ils se brûlent parfois.

Une arme à double tranchant

Si les réseaux sociaux favorisent le flirt émotionnel ou les rencontres extraconjugales, ils servent aussi à dénoncer des écarts de conduite. En juin 2013, la passagère d’un train a publié, sur Facebook, la photo d’un homme qui se vantait d’avoir cocufié sa conjointe à de multiples reprises. En quelques heures, la photo a été partagée 86 000 fois ! (ce n’est pas très glorieux pour autant)…

L’épouse trompée est toutefois demeurée discrète.

Sous surveillance

Celles ou ceux qui tentent de séduire sur les réseaux sociaux seraient toutefois mieux d’être prudents. Alors qu’il est pratiquement impensable de lire le courrier adressé à son conjoint ou sa conjointe, près de 40 % des répondants à une étude ont avoué surveiller le compte Facebook de leur partenaire de vie.

Des 573 participants à l’étude, 41 % ressentent de la jalousie lorsque leur partenaire navigue sur les réseaux sociaux. Et ces derniers sont responsables de disputes chez 23 % des couples.

Facebook est une porte d’entrée, notamment au niveau professionnel, ou pour retrouver des amis, des connaissances. Ce n’est pas Facebook qui est dangereux, c’est son utilisation détournée qui risque de nuire à la vie de couple.

Si les réseaux sociaux facilitent l’adultère, la réaction de la personne trompée ne change pas. Incrédulité, colère et peine se mélangent lorsque cette dernière apprend la vérité. Et si la victime de cette duperie fréquente elle aussi les réseaux sociaux, il est préférable de retirer le nom de l’infidèle de sa liste d’amis.

12345...8
 

La vie de Panobroudix &... |
LE CINEMA SELON Moi |
Vidéo@gag |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | le blog des voisins 41500
| LES PEOPLE A POIL
| Blog Salace